Ma rencontre avec Marcel Fortin, alors président du conseil d’administration de la Société canadienne de la sclérose en plaques – Section Montérégie maintenant SP Canada – Montérégie fut providentielle et le début d’une belle aventure dans le Québec d’autrefois.
Marcel et son grand frère Omer caressaient depuis longtemps ce rêve de raconter l’histoire de leur belle et grande famille : celle de leur mère, Victoria Fortin (née Bois) et de leur père, Mathias Fortin, de leurs quinze enfants, de leur quotidien teinté de débrouillardise, de sacrifices, de durs labeurs, mais aussi de leurs petits bonheurs tranquilles dans un coin de pays encore à construire. L’époque des grosses familles étant à peu près révolue, il leur apparaissait important de faire connaître aux nouvelles générations de Fortin les expériences de vie peu communes de leur immense fratrie dont les valeurs familiales continuent d’imprégner leur quotidien.
Poser les premiers jalons
Même si j’aime la vague inspiratrice qu’un nouveau sujet d’écriture provoque en moi, dès le départ j’ai senti la nécessité de structurer mon approche afin de ne pas me disperser et de transformer une histoire familiale en une saga interminable. Jamais un entrepreneur n’oserait bâtir une maison sans avoir un plan en main, alors j’ai bâti une première charpente sur papier. Ne restait plus qu’à interroger les habitants de la grande demeure de Victoria et Mathias pour récolter les impressions, les souvenirs et les anecdotes propres à une vie familiale si remplie.
Un élément-surprise
Ma curiosité proverbiale et quelques nuits blanches à occuper m’ont permis de découvrir un lieu que les Fortin et d’autres colons ont en commun... et qui existe encore aujourd’hui. Pouvez-vous identifier cette maison ?
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